M. Eléa-Soizic Delacroix est à deauville. ♥
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| Sujet: Jensen Ackles ♣ My hell brother Mer 2 Fév - 20:39 | |
| Delacroix Auxence deuxième prénom au choix You could be happy dude !. about you. J'aime lorsque l'histoire de mes scénarios reste libre, afin de vous donner peu plus de liberté pour votre fiche, de vous laisser la possibilité d'en faire votre personnage bien à vous. Néanmoins, comme il est le frère de mon personnage, ils doivent avoir une histoire en commun. Ainsi, Auxence est né à Deauville il ya vingt six ans dans une famille ni trop riche ni trop pauvre, dont les parents sont mariés depuis plusieurs années. Il a des origines anglaises, et espagnoles. Auxence est le premier enfant des Delacroix, il fut élevé avec amour et gâté mais n’allez pas croire que c’est un tyran ou quelque chose du genre. Au contraire, Auxence est quelqu’un d’altruiste, et quelqu’un de très protecteur avec sa jeune sœur de trois ans son cadet. Sa sœur est très différente de lui, et ils grandissent différemment, bien qu'une grande complicité les unisse tout le temps. L'épanouissement d’Auxence, ses choix, ses décisions, restent les vôtres. Il faut juste respecter ma fiche que je vous encourage vivement à lire parce que je ne parle presque que de lui. Pour le groupe je dirais At my home, en ce qui concerne l’avatar il n’est pas négociable je vois bien Jensen dans le rôle du grand frère, protecteur mais pas trop. Qui adore enrager sa sœur cadette. Pour ce qui est de connexion je ne vous ne demande pas d’être 24/7 mais un minimum. Pour le nombre de ligne si vous faites le nombre imposé sur le forum ça me va. Même plus ce n’est pas dérangeant mais ne me faites pas 100 lignes non plus. Je crois avoir tout dit. | relation. Extrait de ma fiche :
- Spoiler:
→ hôpital de Deauville, le 15 mars 2007 Je me trouvais dans la cafétéria de l’hôpital, avec cette tenue bleue que tous les internes portaient. Quelques internes s’étaient installés près de moi et discutaient des différentes opérations qu’ils avaient vues dans la matinée. Je jouais dans mon assiette, le regard vide. Eléa t’es parmi nous ? Je lâchai ma fourchette qui tomba dans un bruit clinquant sur mon assiette. Je levais les yeux vers cette voix masculine, Will un résident qui trainait souvent avec nous les midis. Je fis un petit sourire. Pourquoi ça n’irait pas ? Je viens d’assister au décès d’un patient que j’occupais, je me suis fait asperger de sang et par-dessus tout mon mec se tape une autre. Donc oui ça va ! » Je pris mon plateau et le déposai sur des rails qui l’emmenait dans une autre pièce. Je me rendis dans le petit jardin de l’hôpital, le vent soufflait un peu sur mon visage. Il n’y avait pas de mots assez forts pour décrire mon état. Colère ? Frustration ? Matinée de merde ! Voir comment j’ai pu me tromper sur son compte, j’étais tellement naïve pourtant Auxence m’avait prévenu. Mais il fallait que je fasse à ma manière, résultat mon petit ami couche avec ma soi disant meilleure amie. Quelques heures plus tard une de mes patientes meurt sous mes yeux, je m’étais attachée à cette bonne femme. Le coup du sang était la cerise sur le gâteau : matinée de merde ! Mes mains fourrés dans les poche des mon pantalon, je restais là droite comme un « i ». Mon index tapotait mon téléphone, je le pris entre mes doigts et commença à composer le numéro…. Sœurette ! Je me retournai et croisa les yeux de mon grand frère, j’ignorais qu’il allait passer. Il devait être au courant, son visage était en colère et en même triste pour moi. Auxence qu’est ce que tu fais là ? Cette même tête lorsque je posais des questions idiotes. Il me prit dans ces bras avant de me prendre par les épaules. Je te jure qu’il va payer ce c…. Je plaquai ma main sur sa bouche, je savais ce qu’il voulait faire. Mais hors de question qu’il se mêle de ma vie privée. Tu ne ferras rien du tout Auxence, je m’en occupe j’ai vingt ans quand même. Ne t’inquiètes pas pour moi cet imbécile sortira de chez moi à coup de pied dans le derrière. Un sourire s’afficha sur son visage, et il se mit à côté de moi regardant le petit paysage devant nous. Tu deviens trop sage ma petite Eléa. Tu peux parler avec le temps toi aussi tu es devenu plus sage. Même si tu as encore les manies d’un homme de Neandertal. Un rire franc et massif mon frère a toujours su me calmer, me rendre le sourire.
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